Témoignage cabinet xray phocea

PACS Synapse et maillage territorial : découvrez le témoignage du Dr. Bensoussan

​​​​​​Découvrez comment le PACS Synapse renforce les avantages du maillage territorial en imagerie médicale !

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Dans une interview inédite, le Dr. Philippe BENSOUSSAN, radiologue associé, co-fondateur chez XRAY PHOCEA partage son retour d’expérience :

• Un accès aux soins et une proximité des services facilités.
• Une meilleure coordination du parcours de soins entre les hôpitaux, cliniques et cabinets de radiologie.
• Un suivi continu des patients avec un accès centralisé à leurs dossiers.
• Une optimisation des ressources et une répartition de la charge de travail plus équilibrée entre les centres.

Regroupant 12 cabinets et une dizaine de sites d’imagerie en coupe en Région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur, XRAY PHOCEA a fait le choix du maillage territorial depuis longtemps.

Client historique de Softway Medical, XRAY PHOCEA utilise le RIS One Manager et le PACS Synapse au quotidien dans tous ses centres d’imagerie pour soutenir sa démarche de maillage territorial.

Le Dr. Bensoussan explique :  » Pour accompagner cette démarche, il nous fallait un outil qui nous permette véritablement de gagner du temps, de pouvoir partager l’information entre nous, de pouvoir prendre connaissance des examens presqu’en temps réel avec une console déportée. »

Découvrez leur Client Story  juste ici 

Le maillage territorial : pour ou contre ?

Dr. Philippe Bensoussan : Aujourd’hui, nous sommes à 12 cabinets, plus environ une dizaine de sites d’imagerie en coupe : scanner, IRM. Ils sont à la fois situés dans des cliniques, hôpitaux, groupements d’intérêts économiques (GIE), ou même complètement indépendants, comme le scanner ARQAD à Aix-en-Provence.

Évidemment, ce sont des sites que nous partageons avec d’autres groupes. C’est ce qui fait notre richesse, la possibilité de rencontrer énormément d’équipes, de travailler avec énormément de prescripteurs et donc de pouvoir partager plein d’expériences.

Nous avons connu une période où véritablement le maillage territorial était remis en question. C’est-à-dire qu’on se disait : « il vaut peut-être mieux essayer de se concentrer, fermer les centres et essayer de tout consolider sur des gros centres. »

Nous, ça n’a pas du tout été notre idée, nous pensions au contraire qu’il y avait un véritable intérêt à avoir un maillage.
D’abord, pour proposer aux patients une proximité.
Ensuite, parce que cela s’intégrait aussi dans le cadre des campagnes de dépistage et donc il fallait bien être le plus proche des patients.

Ce maillage était intéressant aussi parce que les sites d’imagerie en coupe sont alimentés par des patients de nos cabinets. Et c’était une manière de faire profiter aux patients et à nos praticiens d’un parcours de soins complet : c’est-à-dire depuis la rencontre avec le patient, puis l’accompagnement jusqu’au diagnostic, et éventuellement même jusqu’à la thérapeutique quand on faisait de l’interventionnel.

Au fur et à mesure que nous nous sommes développés, que l’on a multiplié aussi les sites d’imagerie en coupe, nous nous sommes demandé : « Bon, il faut que l’on ait un outil qui nous permette véritablement de gagner du temps, de pouvoir partager l’information entre nous, de pouvoir prendre connaissance des examens presque en temps réel avec une console déportée. »

nous sommes à 12 cabinets, plus environ une dizaine de sites d’imagerie en coupe : scanner, IRM. Ils sont à la fois situés dans des cliniques, hôpitaux, groupements d’intérêts économiques (GIE), ou même complètement indépendants, comme par exemple le scanner ARQAD à Aix-en-Provence.

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