L'innovation, une réalité chez Softway Medical !
Permettre à chacun de prendre des décisions éclairées et d’exploiter pleinement ses capacités, c’est la mission de Softway Medical.
Le secteur de la santé est en pleine mutation. Les nouvelles technologies de la e-santé, offrent des opportunités multiples pour l’ensemble des acteurs : du professionnel de santé au patient. Parmi elles on peut citer l’affranchissement des distances, la diffusion de l’information de façon plus rapide, plus fluide et plus pertinente, l’anticipation de l’évolution médicale des maladies, l’aide au diagnostic, la mobilité, le traitement sécurisé des données, ou encore la capacité de placer le patient comme acteur dans son parcours de soins.
Jean-Baptiste Franceschini, Co-fondateur, Directeur de la Division Imaging et Directeur Marketing Groupe, explique l’objectif de Softway Medical, seul Groupe franco-français dans le trio de tête des éditeurs :
« Notre mission est d’ouvrir le champ des possibles ! Les solutions et les techniques existent,
il faut les rendre accessibles aux utilisateurs. »
Vous trouverez ci-dessous, le détail de quelques actions menées chez Softway Medical en réponse à la question
« Comment l’innovation, au travers de la e-santé, peut-elle révolutionner le secteur de la santé ? »
- La révolution technologique du secteur de la santé
- Un projet inédit : le CHU Project !
- L’innovation pour accompagner les radiologues
- Un dossier patient pour aider les soignants face au Covid-19
#1
La révolution technologique du secteur de la santé
Sur le plateau TV du Hub Santé La Provence, Jean-Baptiste Franceschini, Co-fondateur, s’est exprimé autour des enjeux de l’innovation dans la e-santé, et comment, Softway Medical y répond dans sa stratégie.
Jean-Baptiste Franceschini : « On est sur un domaine, la santé, où les processus et les organisations sont quand même complexes. Les compétences qui interviennent sont multiples. Il y a une quantité gigantesque de protocoles à suivre, de masses de données à collecter et à partager. La distance et la temporalité sont aussi deux sujets qui jouent un rôle important. Or les technologies qui font la e-santé ont une extraordinaire efficience justement sur ces différents paramètres qu’on vient de citer à savoir la distance, la temporalité, la masse de données et tout ce qui est processus organisation. Donc la promesse de la santé est quand même belle. Il y a un grand rôle à jouer notamment pour coordonner les compétences entre les acteurs du parcours de soins ainsi que leurs actions qui sont suivies à l’hôpital, et qui, aujourd’hui, peuvent être connues et prises en compte par les médecins spécialistes et généralistes qui sont en ville. Tout ça dans le but d’assurer une continuité, ce qu’on appelle le continuum. On s’affranchit ainsi des distances, l’information circule plus vite pour tous ceux qui sont habilités à consulter l’information. On a un autre bénéfice très important : apporter la bonne information et la bonne fonctionnalité à la bonne personne, au bon moment pour qu’elle puisse prendre des décisions éclairées. On voit que ces technologies numériques représentent un très gros potentiel. Mais on sait que l’accès aux soins peut-être difficile, on parle souvent de déserts médicaux ou de zones défavorisées où il est difficile d’accéder à la bonne compétence, avec la bonne temporalité et sans rupture de prise en charge.
« La e-santé peut beaucoup, d’autant que les nouvelles technologies ont une extraordinaire
JEAN-BAPTISTE FRANCESCHINI
efficience sur tout ce qui est distance, temporalité, masse de données…
Surtout, elles ont cet intérêt de donner une place centrale au patient. »
On voit aussi que la télémédecine ou la radiologie, qui ont fait leurs preuves pendant le COVID, sont des champs d’application qui sont très vastes et que l’on n’a pas fini d’investiguer même si on y fait beaucoup de choses. Un mot aussi pour dire que la place du patient est centrale et les nouvelles technologies ont cet intérêt qui est de lui donner enfin la place qu’il peut prendre dans son parcours de soins. Il peut par exemple interagir avec les soignants pour donner des informations sur son état de santé que ce soit avant ou après une intervention. Il peut aussi transmettre des données médicales ou administratives et partager ses résultats avec d’autres soignants ou d’autres spécialistes qui sont en ville dans son parcours de soins. On voit aussi qu’apporter ce service-là aux patients c’est important pour le rassurer. La notion qualitative est un autre enjeu qu’on peut adresser avec la e-santé. Cette dématérialisation des données et les applications dans lesquelles on peut intégrer un rôle de patient, vont permettre de gagner du temps dans le diagnostic et donc dans la prise en charge. Vous savez on parle souvent de perte de chance ou de risque de perte de chance. On peut parler de gains importants grâce à la technologie : on gagne des chances d’aller plus vite. Tout ce qui est dématérialisation, pour donner des exemples, sont des résultats aussi de biologie, de radiologie, de dossier patient, qui peuvent être partout où qu’on se trouve. Comme si on était sur place dans un établissement de santé ou là où l’information a été produite. Et puis on va de plus en plus vers des solutions qui permettent d’améliorer la décision médicale en ayant des seconds avis, des avis d’experts, des secondes lectures d’imagerie par exemple, ou on peut confier à un tiers spécialiste d’un domaine pour avoir son avis comme s’il était sur place quasiment en temps réel. Et ça aussi ça permet de prendre des décisions qui sont plus rapides et mieux éclairées. Et sans oublier le recours bien sûr au diagnostic avancé dans le dépistage qui est aussi un vrai sujet. Ça fait partie des domaines où l’intelligence artificielle va permettre d’aider les professionnels de santé à gagner du temps, à faire plus vite et à faire mieux. C’est un champ quasiment infini d’actions. Enfin si on parle d’intelligence artificielle, on doit parler de données et de traitement de la donnée. Parce qu’on peut stocker et analyser des volumes considérables de data sur des pathologies, sur leurs traitements, sur les retours qu’on en a. Et ça permet de mieux gérer, et parfois même de mieux prédire, les crises sanitaires. C’est un peu dans les temps qui courent.
Voilà ce qu’on peut dire des bénéfices qui n’ont d’égal que la somme des attentes du personnel de santé, du personnel soignant, administratif, des patients eux-mêmes et bien sûr de la collectivité. En tout cas c’est ce à quoi on s’attache à contribuer chez Softway Medical. »
#2
Un projet inédit : le CHU PROJECT !
La volonté de Softway Medical à travers le CHU Project est d’offrir aux professionnels de santé la possibilité d’aller plus loin et de façon plus efficace. Composé de 3 axes (soins, recherche et pilotage), ce projet a pour but d’impliquer le patient comme acteur de son parcours de soins.
Le CHU Project est une évolution du DPI de Softway Medical, Hopital Manager, qui intègre déjà toutes les nouvelles technologies.
#3
L’innovation pour accompagner les radiologues
L’utilisateur étant au cœur de toutes les réflexions qui mènent au développement de ses solutions, Softway Medical lui permet désormais de franchir un nouveau cap en embarquant le meilleur de l’Intelligence Artificielle. Nous simplifions l’accès à l’IA aux utilisateurs de ses solutions à travers une plateforme facilitatrice. L’IA est donc désormais une réalité pour les radiologues qui peuvent l’utiliser naturellement grâce à Softway Medical.
Sur le plateau TV du Hub Santé La Provence, Jean-Baptiste Franceschini, Co-fondateur, et Sherley Brothier, CTO, sont revenus sur l’Intelligence Artificielle chez Softway Medical.
Elsa Charbit : « Vous avez beaucoup parlé de l’intelligence artificielle. On a l’impression que ça a une place extrêmement importante dans un des domaines assez spécifiques de la médecine et qui est vraiment dans la prévention, c’est la radiologie. C’est plus qu’une évolution, on a l’impression d’assister à une révolution dans ce domaine-là. »
Sherley Brothier : « On est face à des métiers qui sont en train d’évoluer. Les radiologues sont sous tension. Ils sont obligés d’étendre leurs plages horaires pour répondre à la demande parce qu’ils sont submergés par rapport à la demande notamment dans le public. Et il n’est pas rare que des radiologues du privé viennent donner main-forte dans le monde du public. Effectivement les outils qui vont leur permettre de prioriser certaines choses ou de les aider à identifier de manière plus rapide et plus efficace certaines pathologies, sont extrêmement au point maintenant et on peut prendre quelques exemples peut être dans le monde du public des services d’urgences. On sait très bien que le weekend il n’y pas forcément de radiologue de garde physiquement dans les établissements de santé et que pourtant il y a des patients qui viennent avec tout un tas d’accidents, de traumatismes qu’on connaît tous malheureusement. Normalement le lundi matin le radiologue a pour obligation de regarder une par une les centaines de radios qui ont eu lieu pendant le weekend pour être sûr qu’on n’est pas passé à côté de quelque chose de très grave. Des outils comme des outils d’intelligence artificielle, qui détectent automatiquement des micro-fractures, des fissures osseuses, peuvent l’aider dans son tri. »
« Notre rôle c’est d’apporter à leur clic de souris des outils
qui vont leur permettre de gagner en efficacité, au bénéfice du patient. »
Jean-Baptiste Franceschini : « Notre mission c’est d’ouvrir ce champ des possibles parce que les techniques, les solutions existent il faut les amener et les rendre accessibles aux utilisateurs. Comme Sherley le disait, l’exemple de la radiologie est un bon exemple. Le nombre de radiologues n’est pas en forte croissance du tout, il est plutôt stable. Cependant le recours à l’imagerie est exponentiel. Pourquoi ? Parce que les outils et les machines qui font les radios qu’on appelle les modalités, les IRM, les scanners, les PET scan, sont en constante évolution donc on va de plus en plus loin. Et comme on est de plus en plus fort sur ces techniques et sur la qualité du diagnostic, on y a, et c’est normal de plus en plus, recours. Cela veut dire un volume d’examens plus important réalisé avec le même nombre de radiologues. Donc on voit bien qu’il n’est pas question d’aller prendre le travail des radiologues mais au contraire de les aider et d’automatiser, de simplifier, tout ce qui peut l’être. Il y a d’autres exemples. Dans le domaine de la mammographie, il y a également des volumes d’image très importants, et qui demandent une haute technicité, et, aujourd’hui, des solutions d’intelligence artificielle permettent d’aller plus vite.
Cela permet de préparer le travail pour les radiologues en leur disant « attention moi ici je vois quelque chose, là en revanche je n’ai rien vu, mais c’est toi qui va valider qu’il n’y a rien mais là, pour moi, il y a quelque chose à coup sûr et je te mets une marque rouge par exemple et là je te dis peut-être il y a quelque chose avec un pourcentage de probabilité ». Donc cela va aider le radiologue à prioriser certains clichés pour prendre une position et du coup pour accélérer la prise en charge du patient. Donc effectivement notre rôle que ce soit pour les CHU ou pour les grands ensembles hospitaliers, ou autres, c’est d’apporter à leur clic de souris ce genre d’outils qui vont vraiment leur permettre de gagner en efficacité au bénéfice du patient. Il y a aussi une forte notion de mobilité. Le radiologue peut consulter les images sur un smartphone, sur une tablette, avec des niveaux de qualité d’image qui sont très bons. Il peut demander l’avis à un collègue spécialiste qui est à l’autre bout du monde. Ce dernier pourra voir les images et naviguer dans les coupes et dans les volumes de scanners en n’ayant rien sur son ordinateur qu’un simple navigateur. Il peut se connecter même de l’hôtel où il se trouve et va pouvoir donner un avis d’expert et ainsi faciliter peut être un diagnostic qui va être décisif dans la vie du patient. »
#4
Un dossier patient pour aider les soignants face au #COVID-19
La crise sanitaire du COVID-19 a bousculé le secteur de la santé. En qualité d’industriel, Softway Medical a rapidement souhaité s’affirmer aux côtés de ses clients, les professionnels de santé et des patients. Avec l’objectif de faciliter la gestion de la crise sanitaire, le Groupe a étendu le champ d’application de ses outils numériques et répond aux besoins des soignants. En adaptant ses solutions logicielles et en développant des fonctionnalités spécifiques qui répondent à la fois aux enjeux de terrain mais aussi aux enjeux réglementaires, l’éditeur contribue de manière innovante et réactive à la lutte contre le COVID-19.
« ILS ONT DÉVELOPPÉ EN 15 JOURS CE QU’ILS AURAIENT DÛ FAIRE EN 1 AN. »
Dr Pierre Kovalevsky, Centre Hospitalier de Bagnols-Sur-Cèze
A travers un triple témoignage audio, le DR Pierre Kovalevsky, Médecin Urgentiste, Médecin DIM, Vice-Président de la CME et Responsable du DPI au Centre Hospitalier de Bagnols-Sur-Cèze, explique l’organisation indispensable qu’il a dû mettre en place pour gérer cette crise sans précédent. Il raconte son expérience utilisateur autour des outils numériques spécialement adaptés au contexte COVID-19 en attestant de leur efficacité et de leur pertinence. L’adaptation de son dossier patient informatisé lui offre désormais un confort de travail et sécurise la prise en charge des usagers.